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Manifestazione per sfidare il potere dell’OMS (27.05.23)

In diretta da Place des Nations, Ginevra. Intervento di Maria Pia Ambrosetti

“Bonjour à tous et merci d’être ici.

Je m’appelle Maria Pia Ambrosetti, je viens du Tessin et je représente une association de parents née en lien avec la pandémie.

Aujourd’hui, nous sommes ici pour exprimer notre désaccord au Traité sur la pandémie et aux amendements au Règlement sanitaire international visant à s’arroger de larges pouvoirs à l’OMS et à abolir la souveraineté des États, c’est-à-dire notre souveraineté !

Mais il y a un autre chapitre, moins connu, qui est aussi l’oeuvre de l’OMS et auquel nous devrions accorder toute notre attention

Il s’agit de la sexualisation précoce des enfants. L’OMS veut s’immiscer dans un domaine qui devrait relever uniquement de la famille et qui, de toute façon, ne devrait pas concerner les enfants avant l’adolescence. Sous prétexte de lutter pour les droits des homosexuels, les droits des femmes et les droits à la santé, l’OMS a publié des Standards d’éducation sexuelle qui prescrivent aux États comment procéder pour éduquer sexuellement les enfants dès la naissance (zéro année)! Ces normes sont l’expression de groupes de pression (« lobbies ») et n’ont jamais fait l’objet de consultations démocratiques dans aucun pays, et la plupart des gens ignorent leur existence.

Tous les pays mettent déjà en œuvre ces directives de l’OMS en introduisant à l’école l’éducation sexuelle pour les jeunes enfants, qui sont ainsi exposés à la pornographie dont ils sont censés vouloir les protéger. Un vrai paradoxe ! Ces cours consistent à vouloir faire mûrir prématurément un fruit non mûr, nuisant ainsi à la vie psychique des enfants tout au long de leur vie. C’est ce que dénoncent deux psychologues françaises, Ariane Bilheran et Amandine Lafargue qui, avec beaucoup de courage, mettent en lumière les traumatismes dont sont victimes les enfants suite aux cours dits d’éducation sexuelle à l’école. Je cite Ariane Bilheran : « Toute exposition à un contenu sexuel, qu’il s’agisse d’images ou de mots, dans le psychisme d’enfants qui n’ont pas la maturité nécessaire pour absorber ces questions qui appartiennent au monde adulte est susceptible de créer une effraction traumatique. Une expérimentation de masse est menée sur des enfants, alors que nous, psychologues pour enfants ou pédopsychiatres, savons très bien que l’enfant n’a pas de sexualité. C’est une projection du monde adulte qui suppose que l’enfant a une sexualité miniature par rapport aux adultes. (…) L’enfant qui a un comportement sexualisé est parce qu’il l’a appris quelque part, et est plutôt la manifestation d’un symptôme de transgression sur l’enfant. Plus l’exposition à la sexualité de l’enfant est précoce, plus les dommages psychiques seront irréversibles, c’est-à-dire que nous devrons faire face à des traumatismes qui auront entravé l’enfant dans sa construction psychique. Et cela ne sera pas réparable. De plus, un enfant traumatisé sexuellement peut lui-même, par imitation, devenir une source et un vecteur de traumatisme pour d’autres enfants. » fin de citation.
Il est donc de notre devoir, en tant que parents, grands-parents, enseignants, psychologues, médecins, avocats ou citoyens ordinaires, d’empêcher par tous les moyens que les enfants subissent de graves traumatismes psychologiques à la suite de la soi-disant éducation sexuelle à l’école.
Nous souhaitons en tous cas sortir de cette organisation financée par des privés qui ont vraisemblablement d’autres intérêts que notre santé.
Informez-vous, soyez vigilants et, surtout, informez toutes les personnes de votre entourage sur ce qui est en train de se passer avant qu’il ne soit trop tard. Merci !”

Intervento di Maria Pia Ambrosetti dal minuto 26 e per 4 minuti ca

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